[August 1761]
Je me plains de Thieriot; mais mon académicien de Dijon se plaindra bien davantage si les comédiens ajoutent la moindre chose au Droit du seigneur.
Ils le gâteraient infailliblement, comme ils gâtèrent l'Enfant prodigue. Je serai plus inflexible pour les ouvrages de mes amis que je ne l'ai été pour les miens. On a fait tout ce qu'on a pu, dans Tancrède, pour me rendre ridicule; je ne souffrirai pas qu'on en use ainsi avec mon petit académicien.
Je m'unis toujours aux prières des frères, et je salue avec eux l'être des êtres.