Monsieur,

Lisez depuis la page 209 jusques et compris 215 une relation qui vous amusera peutêtre et faites moy l'amitié de décider Vous même de son sort.

La censure des feüilles devient une affaire furieusement difficile depuis les poüilles qu'on permet sur la scène.

Je joins icy une Lettre de Freron à son Censeur inconnu. Décidez encor de la réponse ou du moins prescrivez ma conduitte.

Je suis avec le plus profond respect,

Monsieur

Votre très humble et très obéissant serviteur

Coqueley de Chaussepierre

31 juillet [1760]