1759-04-30, de Voltaire [François Marie Arouet] à François Tronchin.

Je vous prie mon cher amy de m'envoier l'original ou du moins copie entière de mon accord avec la Sérénissime république.
Je vous serai très obligé. Il faut que je connaisse mes devoirs pour les remplir et quoy que j'aye des ponts levis et des crénaux je veux vous être très soumis. Il y a bien long temps que l'oncle et la nièce n'ont eu l'honneur de vous voir.

V.