[c. 20 February 1759]
Vous êtes donc content.
Vous vous êtes donc allarmé trop vite. J'ay donc dit des injures très mal à propos à la sérénissime. Il faudra donc que je demande pardon d'avoir grondé. Vous êtes donc un baron trop craignant les princesses. Je vous remercie de l'apoint bernois. Dieu vous tienne en sa sainte et digne garde noble et généreux baron que j'embrasse cordialement.