1758-12-23, de Voltaire [François Marie Arouet] à Jean Robert Tronchin.

Pardon des minuties mon cher monsieur, ayez la bonté de faire affranchir celle cy.

Le cardinal de Bernis a de quoy se consoler, s'il digère et s'il est philosophe. Tant d'exils ont l'air d'une plaisanterie, mais ce qui n'est point plaisant c'est l'épuisement de la France. Je vous embrasse tendrement.

V.