1758-12-16, de Voltaire [François Marie Arouet] à Jean Robert Tronchin.

Point de nouvelles mon cher correspondant, sinon que le seigneur de Tournei et de Ferney et l'engagiste des Délices aura dans six mois un très petit magot entre vos mains, mais que son cœur sera toujours à vous.
J'attends mon absolution. Parlez moy franchement.

Je vous prie d'affranchir l'incluse.

V. t. h. ob. s.

V.