15 juillet 1756
Monsieur,
J;ay lû le manuscrit intitulé, réflexions littéraires Et philosophiques sur le poëme de la relligion naturelle; cet ouvrage m'a paru bien fait, releuant auec modération les défauts du poëme dans ce qui Concerne la poësie, En vangeant En même temps la relligion reuélée des coups que l'auteur lui porte.
C'est ce qui me fait croire qu'vne permission tacite d'imprimer Convient à ce manuscrit. Je suis auec vn profond respect
Monsieur
Votre très humble Et très obéissant serviteur
Millet censeur