1756-04-30, de Voltaire [François Marie Arouet] à Gabriel Cramer.

Je vous prie de vouloir bien corriger sur la fin du poème de Lisbonne

qui tomba sous les murs écrasés par ses mains.

mettez

qui tomba sous les murs abattus par ses mains.

J'attends les épreuves; et j'embrasse les deux frères.