1756-02-22, de Voltaire [François Marie Arouet] à Pierre Pictet.

Mon très cher voisin la volonté de dieu soit faitte.
Puissiez vous bâtir dans mon voisinage une maison digne de la belle situation que vous avez, et puisse mademoiselle Pictet avoir un mari digne d'elle. Je présente mes respects à madame Pictet, et je souhaitte à toutte votre famille les prospéritez qu'elle mérite. Madame Denis joint ses sentimens aux miens. Vous n'aurez jamais de voisins qui vous soient plus véritablement attachez.