1756-01-24, de Voltaire [François Marie Arouet] à Gabriel Cramer.

Mille compliments à toutte la famille.
Le cadet est déjà venu dans notre hermitage, nous attandons l'aîné. Colini est malade, sans cela vous auriez des rogatons. Vous les aurez bientôt. Je vous embrasse; mandez nous baucoup de nouvelles, les solitaires ne laissent pas de s'intéresser au monde pour plus d'une raison.

Amigo hasta la muerte.

V.