1753-09-16, de Voltaire [François Marie Arouet] à Marie Ursule de Klinglin, comtesse de Lutzelbourg.

Madame la comtesse de Lutsbourg croit donc qu'on peut arriver de Keil chez elle.
Non madame, il n'y a pas de chemin, mais il y en aura un aujourdui pour me mener chez vous pour y jouir du repos et du charme de votre conversation. Je compte madame venir vous présenter mes respects entre six et sept heures, et j'espère vous trouver en bonne santé. Je me meurs d'envie de vous faire ma cour.

V.