à Mayence 16 juillet 1753
Le solitaire malade remercie tendrement le Ciceron de Francfort, de son Oraison pro Archia Poeta.
Si l'éloquence et la vérité ont quelque droit sur le Conseil, il faudra bien qu'il rende justice.
En cas que le Patron des affligés ait la déduction dont il parle au sujet de Charles sept, il obligera beaucoup le solitaire de vouloir bien la lui faire lire. Il l'assure de sa reconnaissance, et de son inviolable attachement.
V.