1753-02-10, de Voltaire [François Marie Arouet] à Jean Baptiste de Boyer, marquis d'Argens.

Je suis dans mon lit, malade malgré le quinquina du roi.
Vous devriez bien venir dîner demain avec frère Paul chez Antoine. Ce sera peut-être la dernière fois de ma vie que je vous verrai. Donnez moi cette consolation.