[24 décembre 1752]
Je vous envoie, mon ami, une petite poudre rafraîchissante, qui, j'espère, ne vous fera pas de peine à recevoir, et je vous prie de mépriser, comme vous le devez, les infamies dont on s'efforce vainement de vous calomnier.
Fr.
[24 décembre 1752]
Je vous envoie, mon ami, une petite poudre rafraîchissante, qui, j'espère, ne vous fera pas de peine à recevoir, et je vous prie de mépriser, comme vous le devez, les infamies dont on s'efforce vainement de vous calomnier.
Fr.