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Très cher et très révérend père en diable, j'avais autrefois un frère janséniste: ses mœurs féroces me dégoûtèrent du parti; d'ailleurs, Tros, Rutulusve fuat, nullo discrimine hebebo.
Les jansénistes me pardonneront l'imbécile cardinal de Tournon, en faveur du détestable le Tellier.
N'est il pas vrai que les disputes sur les rites chinois sont à faire mettre aux petites maisons et les jésuites et les jansénistes? Cher frère, mon histoire, à commencer au calvinisme, est l'histoire des fous.
Bonjour; je vous salue en Frédéric, et je me recommande à vos prières. Mes respects à la muse marchesa.