1752-03-05, de Voltaire [François Marie Arouet] à — Le Baillif.

Mon cher camarade, je suis pénétré de la douleur de madame de Tirconnell, je partage la vôtre, je vous pardonne votre oubli.
Je vous prie de me conserver votre amitié, de me mettre aux pieds de madame de Tirconnell et de me regarder comme un Français qui n'est pas indigne de votre souvenir, et qui vous est tendrement attaché.

V.