1751-01-25, de Voltaire [François Marie Arouet] à Charlotte Sophia van Aldenburg, countess of Bentinck.

Je suis plus malade que vous madame, mais la naissance du roy n'y a point part.
Mon affaire est digne du carnaval. C'est une mascarade. Elle ira après tout comme je voudray. Je suis plus en peine de vos affaires que des miennes. Dès que j'auray un moment, j'aurai l'honneur de venir chez vous.