[September/October 1750]
Madame la markgrave a été fort mal madame, et àprésent est fort bien.
Je luy diray l'intérest que vous prenez à sa santé. Elle n'y sera pas assurément plus sensible que je le suis à vos bontez. Il n'y a point de malingre au monde qui vous soit plus dévoué, et je défie tous les gens bien sains. Le jour que je partis pour Sans Soucy, on avoit pris votre party très hautement chez la reine régnante. Je courus chez vous pour vous en informer. Vous n'y étiez pas. Vous devez madame gagner tous vos procez par tout où vous êtes.
V.