1750-02-15, de Voltaire [François Marie Arouet] à René Louis de Voyer de Paulmy, marquis d'Argenson.

Je vous quitte des vers monseigneur, mais je vous demande en grâce de lire le factum contre Le testament du cardinal de Richelieu.
Jugez moy. Je m'en raporte à vous.

Je ne vous fais point ma cour, je suis malingre, malheureux, solitaire. Je vous aime en pure perte. Miserere mei. Quand je pouray être assez heureux pour paraitre devant vous, tâchez de m'aimer un peu. Mais le moyen! Vous avez tant de choses à faire!

V.