On n'a jamais fait avec les vers monsieur, permettez que je vous importune encore avec ces nouvelles additions que vous trouverez dans L'épreuve que j'ay l'honneur de vous envoyer.
Je compte sur votre indulgence pour un homme qui ne cherche la perfection que parce qu'il cherche à vous plaire.
Permettez moy de vous renouveller ma tendre reconnaissance.
Volt.
ce dimande 11 [July 1745]
Je seray à Etiole lundy et mardy. Si vous avez la bonté de me faire envoyer mardy matin une épreuve par M. de la Reyniere avant midy je vous seray très obligé.