[c. 15 March 1733]
On a imprimé malgré moi le temple du goût.
On vient de m'en apporter quelques exemplaires. Je vous en envoie un mon aimable Diogene; comme cela paraît sans mon consentement, il serait ridicule que j'en fisse les honneurs et que je prisse la liberté d'en présenter à mgr le cte de Clermont. Je vous prie seulement d'avoir la bonté de lui lire dans l'occasion le petit trait qui le regarde; je ne vais jamais lui faire ma cour parce que je soupçonne qu'il se couche quand je me lève. Adieu, je vous embrasse de tout mon cœur.
V.