| Type de texte | source |
|---|---|
| Titre | De natura deorum |
| Auteurs | Cicéron |
| Date de rédaction | -45 |
| Date de publication originale | |
| Titre traduit | La nature des dieux |
| Auteurs de la traduction | Auvray-Assayas, Clara |
| Date de traduction | 2002 |
| Date d'édition moderne ou de réédition | |
| Editeur moderne | |
| Date de reprint |
(livre I, XXVII, 75), p. 33-34
Ce que je vois, c\'est que tu te bats pour faire admettre que les dieux ont une certaine forme, dépourvue de toute consistance, de toute solidité, de tout relief, de toute saillie, sans mélange, légère, diaphane. Nous en dirons donc ce que nous disons de la Vénus de Cos: ce n\'est pas un corps, mais cela ressemble à un corps; ce rouge mélangé au blanc que l\'on voit se répandre n\'est pas du sang mais quelque chose qui ressemble à du sang. Ainsi, dans le dieu d\'Épicure, il n\'y a pas de réalité mais seulement des éléments de ressemblance avec la réalité.