Type de texte | source |
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Titre | \"Sur l’utilité des Conférences\", Conférence prononcée à l’Académie royale de peinture et de sculpture le 4 mai 1748 |
Auteurs | Desportes, Alexandre François |
Date de rédaction | 1748/05/04 |
Date de publication originale | |
Titre traduit | |
Auteurs de la traduction | |
Date de traduction | |
Date d'édition moderne ou de réédition | 2012 |
Editeur moderne | Lichtenstein, Jacqueline; Michel, Christian |
Date de reprint |
(t. V, vol. 1), p. 119
Si la grâce, qu’il possédait à un degré éminent et qu’il a répandue sur toutes ses productions, a réparé ce qui lui manquait du côté de la correction du dessein, Raphaël, qui réunissait ces deux perfections et qui, par le grand nombre des parties de la peinture dans lesquelles il excellait, s’est acquis parmi les peintres modernes le rang qu’Apelle tenait parmi les anciens, Raphaël, dis-je, avait encore un génie plus élevé et d’une plus vaste étendue.
Dans :Apelle supérieur par la grâce(Lien)