Type de texte | source |
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Titre | « Vie de Charles Le Brun », première partie, Conférence lue à l’Académie royale de peinture et de sculpture le 2 août 1749 |
Auteurs | Desportes, Alexandre François |
Date de rédaction | |
Date de publication originale | 1749/08/02 |
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Date d'édition moderne ou de réédition | 2012 |
Editeur moderne | Lichtenstein, Jacqueline; Michel, Christian |
Date de reprint |
, p. 344
Ce monarque, vainqueur comme Alexandre, aussi révéré pour ses belles qualités qu’Auguste, et non moins ami et bienfaiteur des arts que les Médicis, a vu fleurir sous son empire les sciences, les belles-lettres et les arts libéraux. Des orateurs d’une éloquence sublime, des poètes comparables ou supérieurs à ceux de l’Antiquité, se sont réunis pour célébrer à l’envi ses exploits et ses vertus : mais ce n’était point encore assez pour sa gloire. Alexandre le Grand avait eu le bonheur de posséder un Apelle ; on peut dire que Louis le Grand méritait d’avoir un Le Brun.
Dans :Apelle et Alexandre(Lien)