Type de texte | source |
---|---|
Titre | \"Commentaire de l’Épître à son fils (les anciens et les modernes)\", lu le 1er septembre 1714 à l’Académie royale de peinture et de sculpture |
Auteurs | Coypel, Antoine |
Date de rédaction | 1714/09/01 |
Date de publication originale | |
Titre traduit | |
Auteurs de la traduction | |
Date de traduction | |
Date d'édition moderne ou de réédition | 2010 |
Editeur moderne | Lichtenstein, Jacqueline; Michel, Christian |
Date de reprint |
, 122
L’estime que l’on faisait de ces rares ouvrages vint à un si haut point, qu’une statue de la main d’Aristide fut vendue trois cent soixante et quinze talents ; et une autre de Polyclète six vingt mille sesterces ; et que le roi de Nicomédie, voulant affranchir la ville de Gnide de plusieurs tributs, pourvu qu’elle lui donnât cette Vénus de la main de Praxitèle qui attirait tous les ans un concours infini de curieux, les Gnidiens aimèrent mieux rester toujours tributaires que de lui donner leur statue.
Dans :Praxitèle, Vénus de Cnide(Lien)