Type de texte | source |
---|---|
Titre | Gedichte |
Auteurs | Bürger, Gottfried August |
Date de rédaction | |
Date de publication originale | 1778 |
Titre traduit | |
Auteurs de la traduction | |
Date de traduction | |
Date d'édition moderne ou de réédition | 1789 |
Editeur moderne | |
Date de reprint |
, p. 391
Die beiden Maler.
Zum Zeuxis prahlt einst Agatharch, ein kleiner,
Fixfingriger, behender Pinselmann:
» So schnell, wie ich, malt wohl so leicht nicht
Einer!« »Und ich, hub Zeuxis ruhig an,
Ich rühme mich, daß; ich so langsam malen kann !«
Und Fingerfix nennt jetzt fast keiner;
Den Zeuxis noch fast Jedermann.
Dans :Zeuxis et Agatharcos(Lien)
, Les deux peintres.
Agatharque, un jeune peinturlureur aux doigts lestes et habiles
Vint un jour se vanter auprès du grand Zeuxis :
« C’est chose malaisée que de trouver un peintre qui manie le pinceau aussi vite que moi ! »
Et Zeuxis, calme, de répondre : « Je suis fier, quant à moi, de peindre lentement. »
Et voyez donc ! Presque personne ne se souvient aujourd’hui de monsieur doigts-agiles
Alors que Zeuxis, presque tous le connaissent.