| Type de texte | source | 
|---|---|
| Titre | Observations critiques sur la nouvelle traduction en vers français des Géorgiques de Virgile et sur les poèmes des Saisons, de la Déclamation et de la Peinture | 
| Auteurs | Clément, Jean Marie Bernard | 
| Date de rédaction | |
| Date de publication originale | 1771 | 
| Titre traduit | |
| Auteurs de la traduction | |
| Date de traduction | |
| Date d'édition moderne ou de réédition | |
| Editeur moderne | |
| Date de reprint | 
, p. 460
Le tableau que L.M.[[5:Le Mierre.]] a peut-être le plus mal rendu, est celui d’Iphigénie et d’Agamemnon, par Timanthe. [...] Vous êtes frappé du ridicule de cette répétition, le père, le père, et de cette interrogation froide, qui amène une réponse d’un laconisme très-plat. Ce mot voilé, qui n’a aucune consistance, termine, on ne peut pas plus mal, une tirade.
Dans :Timanthe, Le Sacrifice d’Iphigénie et Le Cyclope (Lien)