| Type de texte | source |
|---|---|
| Titre | Réflexions et menus propos d’un peintre génevois ou Essai sur le beau dans les arts |
| Auteurs | Töpffer, Rodolphe |
| Date de rédaction | |
| Date de publication originale | 1848 |
| Titre traduit | |
| Auteurs de la traduction | |
| Date de traduction | |
| Date d'édition moderne ou de réédition | |
| Editeur moderne | |
| Date de reprint |
(t. II, ch. 20), p. 105
L’art est-il né, comme le dit une assez niaise tradition, de l’idée qu’eut un amant de crayonner sur la muraille le contour de l’ombre qu’y projetait le profil de sa maîtresse, ou bien l’art est-il né, au contraire, du premier essai que fit un homme, amant ou non, pour réaliser, au moyen de l’imitation, quelque conception du beau, fruste encore, élémentaire, grossière, mais enfin issue de sa pensée et qui la charmait ?
Dans :Dibutade et la jeune fille de Corinthe(Lien)