| Type de texte | source |
|---|---|
| Titre | Le Théâtre du monde, où il est faict un ample discours des miseres humaines |
| Auteurs | Boaistuau, Pierre |
| Date de rédaction | |
| Date de publication originale | 1558 |
| Titre traduit | |
| Auteurs de la traduction | |
| Date de traduction | |
| Date d'édition moderne ou de réédition | 1621 |
| Editeur moderne | |
| Date de reprint |
Et Appelles par l’espace de dix ans, employa toute la rigueur de son esprit à pourtraite une image Venus, laquelle estoit douëe d’une si excellente beauté, et avoit les traicts si delicats, que les jeunes gens qui s’amusoiyent à la contempler en devenoyent amoureux, comme de quelque vive image : de sorte que par edict public il lui fut enjoinct de la tenir cachee, de peur d’induire la jeunesse à corruption.
Dans :Apelle, Vénus anadyomène
(Lien)
, p. 209
Laissons les armes, et descendons aux arts, qui semblent un peu plus vils et abjects, comme peincture, architecture, statuaire, et pourtraicture. [[2:Excellence de l’homme en la peinture]] Quelle divinité en Zeuxis peintre excellent ? lequel contrefit par son art une vigne pleine de raisins, tant subtilement elabouree, que les oiseaux qui voloyent par l’air, se ruoyent dessus esperans y prendre pasture. [[4:suite : Apelle Vénus anadyomène]]
Dans :Zeuxis et Parrhasios : les raisins et le rideau(Lien)