| Type de texte | source |
|---|---|
| Titre | Vie de Michel-Ange Buonarotti, peintre, sculpteur et architecte de Florence |
| Auteurs | Hauchecorne, abbé |
| Date de rédaction | |
| Date de publication originale | 1783 |
| Titre traduit | |
| Auteurs de la traduction | |
| Date de traduction | |
| Date d'édition moderne ou de réédition | |
| Editeur moderne | |
| Date de reprint |
, p. 410
Un crucifix de bois pour l’église du Saint-Esprit. On a mis sur le compte de Michel-Ange l’histoire d’un homme tué pour mieux représenter un Christ mourant quel est l’artiste peintre ou sculpteur qui n’a pas été chargé de cette ridicule imputation ! Le génie avait-il besoin de ce modèle ? Et quel modèle que les traits d’un malheureux qui meurt dans le désespoir !
Dans :Parrhasios, Prométhée(Lien)