23e Auguste 1777, à Ferney
Le vieux malade qui n'en peut plus remercie Monsieur Pankouke de vouloir bien lui faire voir un essai de ce nouveau dictionaire dont il va enrichir la Littérature.
Il attend ce premier volume avec empressement.
Il envoie pour la troisième fois, une Liste du grand nombre des mémoires de L'académie des sciences qui lui manquent.
Il prie instamment Monsieur Pankouke de ne la pas égarer comme les autres.
Adieu, Monsieur, pour me consoler de ne point vous voir cette année on me flatte que je verrai Monsieur vôtre beau-frère.
Mes obéissances à Madame Suard.
v. t. h. o. s.
V.