1777-02-03, de Voltaire [François Marie Arouet] à Paul Claude Moultou.

On a dit au vieux malade de Ferney que Monsieur De Moultou avait la générosité d'emploier son crédit pour sauver la vie à ce fou de Copponex.
Le vieux malade, qui ne laisse pas de sentir de quel prix est la vie, en remercie infiniment Monsieur De Moultou.