[1775/1776]
Votre prose et vos vers pleins d'agréments sont, monsieur, la condamnation de mon silence. Mais les maladies qui affligent ma vieillesse, sont mon excuse. Je vois que vous cultivez les lettres et la philosophie. Je ne mène plus qu'une vie languissante, et j'ai à peine la force de vous dire combien vous m'intéressez à vos succès.