1774-09-18, de Voltaire [François Marie Arouet] à Jean Gal.

Le vieux malade à qui mr de Pomaret a écrit le 11 7bre peut l'assurer que les prélats qui ont le goût de la persécution ne seront point écoutés; et qu'on ne doit attendre rien que d'humain et de favorable du ministère présent.
Il y a tout lieu d'espérer qu'à la première occasion il y aura un règlement pour les mariages, qui assurera l'état des enfants et la tranquillité des familles. C'est ce que mr de Pomaret peut mander à mr Pradel à qui le vieux malade ne peut écrire, ayant perdu son adresse.