1774-01-31, de Voltaire [François Marie Arouet] à Philippe Antoine de Claris, marquis de Florian.

Le vieil oncle trouve que l’on conduit serin avec science et prudence et qu’on a connu sa maladie.
Il souhaite qu’il y ait des jus d’herbes qui valent mieux que le lait d’ânesse. Cette ânesse a fait du lait avec ce jus d’herbes. Si les hommes avaient le secret de changer des herbes en lait en les fesant bouillir dans une chaudière ce serait un bel art.

La maladie du vieillard continue. Il faut que les orages aient leurs cours.