24 de juillet [1773]
Raton sera toujours prêt à tirer les marrons du feu pour le déjeuner des Bertrands.
Raton ne craint point de brûler ses pattes. Le temps approche où il n’aura bientôt ni pieds ni pattes; il faut qu’il s’en serve jusqu’au dernier moment pour l’édification du prochain. Donnez donc, mon cher ami, cette lettre à Marmontel-Bertrand, second du nom. Il faut absolument que j’aie la correspondance du bienheureux abbé Sabatier. En attendant, priez dieu pour moi.
Le vieux Raton