4e Juin 1773, à Ferney
Le vieux malade de Ferney écrit quand il peut, et non pas quand il veut.
Il est toujours occupé du soin de faire tout ce qui poura plaire à Monsieur D’Osterval. Il lui est absolument impossible à présent de faire ce que monsieur Osterval demande; il le suplie d’attendre. C’est une chose fort triste qu’il y ait si peu de communication entre la Suisse et la France, mais on prendra des mesures pour le servir. On lui présente ses très humbles obéissances.