1773-06-04, de Voltaire [François Marie Arouet] à Frédéric Samuel Osterwald.

Le vieux malade de Ferney écrit quand il peut, et non pas quand il veut.
Il est toujours occupé du soin de faire tout ce qui poura plaire à Monsieur D’Osterval. Il lui est absolument impossible à présent de faire ce que monsieur Osterval demande; il le suplie d’attendre. C’est une chose fort triste qu’il y ait si peu de communication entre la Suisse et la France, mais on prendra des mesures pour le servir. On lui présente ses très humbles obéissances.