1772-12-31, de Voltaire [François Marie Arouet] à Gabriel Cramer.

Je suis au désespoir, mon cher ami, j’ai été si horriblement malade toute la nuit que je ne pourai quitter mon lit de toute la journée.
Je suis incapable d’avoir du plaisir. J’en demande bien pardon à madame Cramer. Je perds aujourd’hui de l’esprit et de la musique. Je suis abimé dans les souffrances, plaignez moi.

Je suis très content de l’ami Pankouke, c’était un mal entendu.