1772-04-06, de Voltaire [François Marie Arouet] à Joseph Vasselier.

Je vous renvoie, mon cher correspondant, la lettre de Mr de Pullignieux.
Je l’ai fait lire au jeune avocat Du Roncel, qui n’en a point été étonné parce qu’il connait le siècle, et qu’il n’en est point fâché parce qu’il est philosophe. Il plaint l’ami Rosset de n’avoir pu profiter de cette petite aubaine. Je lui conseille s’il veut faire une petite fortune d’imprimer le pédagogue chrétien, et Marie à la coque.

J’embrasse bien cordialement Monsieur Tabareau et Monsieur Vasselier.