A Versailles le 7 Xbre 1771
M. du Puys m’a remis, Monsieur, la Lettre que vous avez pris la peine de m’écrire le 8 du mois der et le mémoire que vous m’annoncez.
Je vais me faire rendre compte de la demande qu’il fait de l’union à sa terre d’un petit fief dépendnt du Domaine du Roy. M. Dupuys a l’avantage d’être allié à la famille du grand Corneille, et vous vous intéressez à ce qui le regarde. C’est un double droit qu’il a acquis sur ma bonne volonté. On ne peut rien ajoûter aux sentimens d’estime que je vous ai voüés, et avec lesquels je suis, Monsieur, Vôtre très humble et très obéissant serviteur.
Terray