1770-12-31, de Voltaire [François Marie Arouet] à Henri Rieu.

Mon cher Corsaire, voicy une pièce que je soumets à vôtre jugement.
Si vôtre cœur est content, donnez moi vôtre main. Nous serions bien charmé si vous pouviez venir après demain avec monsieur vôtre fils et la piéce copiée.