[c. 1770/1771]
Je ne puis trop vous réitérer mes remerciements, mon cher corsaire.
Permettez que je vous envoie encore quelques rogatons in-4. pour le pot-pourri, et deux autres pour les petits pots-pourris 8..
Voici dix louis pour le paiement des livres. Je payerai le relieur avec la même exactitude.
Je vous supplie de vouloir bien dire à mr Coladon que je lui enverrai incessamment de l'argent; il faut qu'il me pardonne de payer les livres avant les drogues, tout pauvre malade que je suis. Mille respects à toute votre famille.
V.