19e avril [1774]
Le vieux malade fait les plus tendres compliments à son cher Corsaire.
Il a donné congé à Panvier qui ne pourra sortir qu’au 1er juin; et dès le second jour de juin on travaillera sans relâche à tout ce que mon cher Corsaire a désiré.
Je le supplie de vouloir bien me faire envoier les livres bons ou mauvais que le relieur de la résidence a dû me relier depuis longtemps.
Dites nous je vous prie ce que c’est qu’un jeune homme nommé Buttini qui m’a envoié un livre sur le luxe.