1768-01-27, de Voltaire [François Marie Arouet] à Henri Rieu.

Mon cher corsaire, voici le saint temps de pâques; il est bon que Pellet imprime le Sermon que je vous envoie.
Je le crois très édifiant et je m'imagine qu'il fera du bien aux âmes dévotes et indévotes. Je vous prie, mon cher ami, qu'on ne perde pas un moment. Je vous embrasse du milieu de mes neiges.