1767-08-13, de Voltaire [François Marie Arouet] à Charles Augustin Feriol, comte d'Argental.

Ah! mon dieu, on me mande que made d'Argental est à l'extrémité.
Je venais de vous écrire une lettre de quatre pages, je la déchire, je ne respire point. Made d'Argental est elle en vie? Mon adorable ange, ordonnez que vos gens nous écrivent un mot. Nous sommes dans des transes mortelles. Un mot par un de vos gens, je vous en conjure.

V.