1767-07-27, de Voltaire [François Marie Arouet] à Jean Le Rond d'Alembert.

Je suis enchanté mon cher et grand philosophe.
J'espère qu'enfin la gloire de mon petit la Harpe servira à sa fortune.

Lisez cette lettre et jugéz. Voiez je vous prie mr Caperonier.

Je vous ay mandé que l'impératrice de Russie a fait traduire Bélizaire qui est en France exposé aux Cogé. Il est bien nécessaire de confondre l'imposture. Elle irait loin si on la laissait faire.