27 juill. [1767]
Je suis enchanté mon cher et grand philosophe.
J'espère qu'enfin la gloire de mon petit la Harpe servira à sa fortune.
Lisez cette lettre et jugéz. Voiez je vous prie mr Caperonier.
Je vous ay mandé que l'impératrice de Russie a fait traduire Bélizaire qui est en France exposé aux Cogé. Il est bien nécessaire de confondre l'imposture. Elle irait loin si on la laissait faire.