[30 Janv: 1766]
Vous verrez monsieur que je dois être plus content de la lettre de Monsieur le baron de Freudenreik que de la vôtre.
J'envoye à Paris la copie dont j'ay l'honneur de vous dépêcher la minute. Je ne m'ingère point dans les affaires qui ne me regardent pas, mais je dois repousser les calomnies qui m'offensent et qui outragent vos seigneurs autant que moy même.
Si dans les premiers moments on m'avait aidé à détruire ces bruits dangereux qui ont irrité tant de citoiens, vous ne seriez pas où vous en êtes. On se conduisit alors très mal, et on me devait plus d'égards. Vous savez que je dis toujours ce que je pense.
V. t. h. ob. str
V.