1765-08-21, de Voltaire [François Marie Arouet] à Jacob Bouthillier de Beaumont.

Je suis Monsieur très sensible à vos bontez mais je ne veux point en abuser; et je ne prétends recevoir mes 6500lt que quand elles auront été payées.
Le temps est court, j'attendrai très volontiers. Vous me ferez plaisir de vouloir bien m'avertir quand ces lettres de change auront été acquitées.

J'ay l'honneur d'être monsieur avec tous les sentiments que je vous dois votre très humble et très obéissant serviteur

Voltaire

Pardon, je ne me suis pas aperçu que la feuille était coupée.