21 juin 1762, aux Délices
Monsieur,
J'ai déjà eu l'honneur de vous écrire que je suis dans la nécessité de régler mes affaires et que je vous priais d'envoyer un homme qui terminât nos comptes ou d'avoir la bonté de venir vous même à votre loisir.
J'ai vainement attendu votre réponse.
Je vous écris encore pour vous prier de ne pas m'oublier.
J'ai l'honneur d'être, monsieur, votre très humble et obéissant serviteur,
Voltaire