1761-12-31, de Voltaire [François Marie Arouet] à Henri Rieu.

Mille remerciements, mon cher monsieur; l'ombre du grand Corneille et sa petite nièce vous feront aussi les leurs.
Scudéri eut très grand tort; l'Académie n'eut pas toujours raison, et Scudéri mérite l'indignation de la postérité. Elle payerait en cette monnoye si elle pouvait connaître son nom.

Bon jour, monsieur; quand aurons nous l'honneur de vous voir?

V.